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De ces livres qui peuvent intéresser
Rubrique hebdo de commentaires de ces perles écrites par des amis, es.
. Rino Ermini : « Per una pedagogia libertaria », ed. « sempre avanti », coll. Quaderni ibertari », Livorno 1998.
« Quel che si insegna è vecchio nel senso che sono vecchie le idee, nel senso che si insegna per addormentare o addestrare le menti, non per svegliarle. Si insegna non per far emergere in ciascuno quel che ciascuno ha di positivo dentro di sé, ma per immettere idee precostituite nell’individuo, per fare ciascuno più o meno uguale a tutti gli altri, piatto e smorto, pronto all’obedienza e alla passività.
Si può dire altro e lavorare con contenuti diametralmente opposti a quelli comunemente in uso. Si possono dare al lavoro di docente contenuti rivolutionari anche dietro l’apparenza della normalità.
Operando opportunamente e costantemente sui contenuti, sui metodi e sulla selezione visti nel più ampio contesto de altre questioni politiche e sindacali, si può andare sin da ora nella direzione di un cambiamento radicale ; si può cioè, partendo da oggi, stravolgere l’esistente per giunger ad un’organizzazione della scuola totalmente diversa da quella che abbiamo ».
Perle écrite par un prof anar. Qui, au sein de l’école d’état qui domestique et façonne ses outils de fonctionnement futur, convoque des valeurs de solidarité d’échange non polluées par l’autoritarisme et la hiérarchie. Faire l’histoire des vaincus, donner des repères géographiques non ethnocentriques et pertinents, évacuer de la littérature les contenus castrateurs religieux et/ou mythologiques . Proscrire la sélection et ouvrir sur la réflexion de l’individu pour/par l’individu, et du groupe pour/par le groupe, dans une méthodologie active et participative. En attendant d’avoir rayé l’état et ses nuisances de nos existences…
Traduction en cour.
. Organisation Communiste Libertaire : « pour en finir avec la travail salarié », éd. Acratie, La Bussière, 1997.
Le travail demeure, et très certainement pour longtemps encore, au centre de nos préoccupations : mais pas comme valeur positive ou simplement comme élément de lien social, mais parce que sans travail, pas de possibilité de revenu décent, donc pas de vie décente dans cette société de consommation où tout à un prix. C’est précisément de cette société dont nous ne voulons plus. Une société où le travail n’est pas une activité humaine partagée en fonction de besoins librement décidés, mais un esclavage salarié destiné à produire n’importe quoi du moment que ça se vent et que les capitalistes peuvent réaliser des profits.
Cette « crise du travail » permettra peut-être de tordre enfin le cou à de « vielles croyances » telles que la nécessité de la croissance, du productivisme, de la prépondérance et de la domination de la gestion ou de l’administration des choses ( l’économie) « pour s’en sortir »,,,,Autant de fuites en avant qui caractérisent le système capitaliste.
Approche critique des origines du travail à son utilité, à son usage, dirons-nous, social contemporain.
Les livres nous sont souvent prêtés par les compagnes et compagnons du C.I.R.A. (centre de recherche sur l’anarchisme).
Un merci particulier à Marie-Anne et Christian.
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