Charte


La Charte de La Petite Martine

La petite Martine postule de créer, pour toutes et tous, des lieux, des temps, des occasions :

des situations...
des manifestations de la conscience critique et dialectique, par les biais de tout les médias culturels qu’elle se veut.

Ainsi de cesser : les biaisements, les péjorations, les disqualifications, les rétrocessions des cultures dites « alternatives » « dégénérées » ou « décadentes » et les confinements dont elles sont l’objet.

La Petite Martine distribue les pratiques de ces cultures, solaires, partagées, belles et rigolotes et offre de les sortir des lieux, des préjugés et des ostracismes dont elles sont l’objet. Celles-là veulent être valorisées accessibles et attrayantes.

Reconnaissant que la culture dans son ensemble est le lieu commun de convenus, de concessions et non d’appropriations, que la culture peste d’être l’apanage des élites sociales, financières ou intellectuelles, La Petite Martine nécessite de conquérir tout possibles aux desseins de se restituer les cultures et leurs sens, de concert à chacunE.Dès lors il s’agit de :

Créer les conditions de la visibilité et de l’accessibilité d’évènements culturels

Tenter des pratiques artistiques et/ou culturelles différentes ; non-élitistes, critiques, valorisantes et pertinentes.

Susciter des occasions de contacts, de réflexions, de socialisations, et de bien-être partagés, aux grés des relations nouvelles, non-hiérarchique de sois à autrui et de sois à sois.

Offrir des espaces et des existences à nos productions artistiques. Cesser les évidences, les partis-pris, les postures, et conquérir les espaces neufs, in-pollués de ce qui connote « l’ a-culture »

Parce que la peste c’est la demi-mesure. Parce que concéder c’est se rendre, et parce que l’on fini ce qui nous est donné de voir et d’entendre à commencer de se regarder libres ; et que l’on est libre que ensemble ou pas du tout : La petite martine densifie, intensifie incendie et in-concède indissolublement l’acte culturel, comme subversif et hostile à l’aliénation, comme dynamique partagée pour les meilleurs et les meilleurs, comme lieux nouveaux, conquis, aux démesures de nos espérances sans confins…