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DAZIBAO / La potence

LA POTENCE JOURNAL ANAR LA POTENCE CANARD MAUVAIS
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SE VEND POUR GRATOS, à LA CRIéE..

(l'on cherche toujours des crieuses et crieurs) voir groupe NADA



.Pour pontes scripturales insurrectionelles, couve ici :



LA POTENCE







numéro11

LA POTENCE : CANARD ACQUEUX, LA POTENCE PRESSE BITE


pourquoi je suis …… pourquoi je ne suis pas…..
ANTIPATRIOTE CAPITALISTE

Le capitalisme est un réflexe infantile pusillanime qui installe l’humain dans des rapports de productions de quantités, et c’est tout.

Le patriote s’éteint pour tenter en vain, de bouter les projections de ses effrois, de son indigence et de ses désespoirs hors de tout, et d’abord hors de ça. Ça, désigne son intérieur géographique, puisque point d’histoire, de dialectique ou de poésie, aux abandons désertiques de son crâne.

Le capitaliste peuple ses vacuités des ombres, des peines d’autrui. Il n’est que relativement à la misère qu’il dispense et vante son privilège supposé de contrôle et/ou de prépotence sur autrui.

Le patriote, peine a composer des trames d’existence par lui même. Il ne s’oriente que sur la déroute de l’autre-ennemi , qu’il exclu d’un monde ou lui même n’a pas de place.

Le capitaliste n’est pas violent. Il est d’une grande et implacable brutalité dès lors qu’il nuit aux citadelles inexpugnables de l’impunité. Il ne connaît pas les notions de courage, d’aventure ou de solidarité. Seuls, agitent ses bras, les calculs inlassables qui classifient, notent et norment ses régressions des domaines de la lutte.

Le patriote n’est pas violent, il est d’une extrême et implacable brutalité, dès lors que celle-ci s’agite aux conforts impune du groupe. Sorti du grégaire point de salut, il insupporte que quiconque porte ombrage à ses chefs, dont il nécessite le verbe tel un vampire le sang.

Le capitaliste grandira, deviendra adulte dans sa tête et prendra dès lors les envols joviaux, se penchants sur ces penchants sales et méchants d’un passé certes miséreux et improbable mais désormais passé. Souhaitant à autrui et à sois même, enfin autre choses que les choses communes qui l’y ont ceint.

Le patriote grandira aussi, et enfin, s’existera dès lors qu’il aura fait d’autrui ses pairs, dès lors qu’il aura fait de lui un pair.

Le capitaliste est le patriote du calcul, le patriote le capitaliste du recul.

Ils ne forment qu’un, ils sont le même processus, la même régression crasse, ils sont la part de chacunEs de nous qui s’effraie de ne pas reproduire les modèles et qui insupporte qu’on les reproduise mieux. Ils ne sont que relativement à ceux-là, et toujours bien imparfaitement les petits soldats qui n’on cure : ni de qui ils sont, ni de comment ils sont dès lors que ; ensemble il vont. Que ce soit à l’abîme peut importe.

S’en éloigner c’est se rapprocher de la liberté. Et s’en éloigner suffisamment, à en perdre tout souvenir, c’est enfin se donner les possibles incommensurables des devenirs ensemble, des devenirs émancipés, des devenirs maintenant.

















Pourquoi je suis anticapitaliste, pourquoi je ne suis pas patriote,

C’est pour cesser les peur des peurs, ou de les asséner.
Cesser d’en être astreint, contraint contrit biaisé.
Les cesser, c’est commencer d’exister ses rêves,
et commencer de les colorer, c’est cesser les vies misères.

Tout commencer, c’est finir les nids -vipères.
C’est le pouvoir, qui décrépit qui désespère,


Dès lors abolis tes craintes ,
cesse de fuir, termine tes reculs :
sans peur, ni fois et sans calculs,
Prend la potence, lève-en maintes ,
Tu brise dès lors du patron les mandibules.

-www.barricades.tk-


numéro10

--->bientôt<---


numéro 9

9 JUIN : DEUIL DES CONSCIENCES


Rien.
Son vide et son triomphe…
Brutal.
Abyssal.

…bruits de crécelles et bruits de bottes…

Et comme le rien insupporte le vide, il le comble de vain, de laid, de nain.

Et ses cortèges funestes, quand dans les têtes se hissent-reptiles les grégaires.

Et fantomatiques, les cervelles en lambeaux, les clameurs sonores : inversement proportionnelles aux sens portés _comme un nuage maudit de sauterelles_ qu’assènent-dévastations, les troupes éthyliques-vaseuses des supporteurs, auditeurs, spectateurs, consommateurs de « fast-foot mondial»

Et le médiocre le dispute à l’obscène, et emportéEs aux élans vomitifs, s’y commettent les filles qui finissent de faire les mecs, dans leur pire, dans l’abandon définitif d’autres choses de ce qu’il reste : les objets bruyants et sales qu’ils et elles rotent aux caniveaux.

…bruits de crécelles et bruits de bottes…

Et la vase déferle, c’est le cloaque dans les têtes. Une messe païenne où l’on se conforte à dire que l’on y va toutes et tous ensemble. Que ce soit aux abîmes peu importe, pourvu que l’on s’y échoue de concert.

Et faîte solidaire : la communion des peuples s’étrenne par le bas, à supposer que l’on puisse encore normer ce bas là.

Et les jeunes, les vieux, les blondes, les blacks, les riches, les forts, les gros, les pâles … :

C’est pouff–land dans ta tête, c’est la patrie des patriotes, c’est l’église de tous les croyantEs, la voiture-sport définitive, les gros seins ou la grosse queue, le spectacle affligeant d’erres en vrac, peints-rupestres, qui agitent leurs hochets gris-gris, comme à jeter un sort aux infinies défaites de leurs consciences.

Point de sourires, pas de joie ou rien encore de moments partagés, c’est les vils instincts sortis enfin des cachots de l’imbécile.

…bruits de crécelles et bruits de bottes…

C’est les immenses solitudes de vies rampées, à l’alibi odieux que dieux-télé connote, que s’incommuniquent de cris, de gesticulations, comme pour se rassurer que point l’on est mort déjà, ces clowns tristes.

…bruits de crécelles et bruits de bottes…

Alors consomme.
Achète-toi les instants de vies supposées…
Enfin tu trouves de quoi alimenter les verbiages ineptes, indigents de tes jours perdus.
Et tu crois dire quelque chose.
Et tu crois rencontrer quelqu’un.
Tu ne vois que toi.
Et tu te laisses pour compte tellement, qu’il te faut te mentir tout le temps.

Ton dedans est comme ton dehors.

…bruits de crécelles et bruits de bottes…

Va donc,…flaque de merde. Va donc,… tu n’es que…bière tiède et viande froide.




La potence journal mural, la potence volatile inconséquent







GROUPE NADA http://LAPOTENCE.JOUEB.COM



numéro 8


Des cendres

D’un

Monde en RUINE ....



..à brûle .. pour .. poing !


finir un monde c’est en commencer mille autres.


Cesser les convenus c’est tenter les aventures

Nier le laid, c’est s’approprier les beaux

Et ne rien se souhaiter, pour tout conquérir

Et ne rien demander, pour tout reconstruire

Commencer à comprendre c’est se dé-lester.

on explique pas le vide.
On l’insupporte.

A le combler de leurres,

On y adjoint l’humiliation,

Le médiocre. Le désespoir.


Nier ce désespoir revient à nier la réalité du monde.


Formuler sa négation c’est faire des cendres d’un monde ruiné

Pourquoi mendier le précaire, l’instable, les errances plutôt que de conquérir un monde neuf !

Ce monde de ruines, l’on n’en veut pas. L’on en veut plus. Le brûler nourrit la colère. Et fini de terminer l’absurde.

A se sustenter d’étrons, à consommer le vain, l’on chie des flammes. Il ne reste à présent, pour toi et moi, qu’à construire aujourd’hui nos lendemains rêvés.

Il ne reste dès lors, qu’à conquérir les espaces enfin vierges, impollués- crasse des ostracismes partout.

Il ne nous reste enfin, plus qu ‘à tout commencer.

Maintenant !






numéro 7


SPECIAL RHINO


Ce n’est pas rhino que l’on évacue, c’est l’imaginaire que l’on cesse.
Ce ne sont pas des gens bannis de chez eux, c’est toi qui disparaît tes lieux.
« Ce ne sont guère que des branleurs à la rue », ce sont misères, tes peurs que tu évacues.
C‘est là, les espaces replis
Digestes aux ventres replets
Les conforts obscènes vomis
Des bourgeois ventrus et laids.
Rhino n’est pas un lieu mystère
C’est là, qui termine de renoncer.
C’est la fin du logis concédé
C’est enfin, de ces lieux de ces temps,
Aux consciences réappropriées.
Phalanstère des utopies larmes viscères des geôles logis
Les jardins fleuris, les soleils reconquis , cesse tes peines devient joliEs.
Ainsi La potence se dresse alerte pour qu’à courber les échines, ne soient pas celles/ceux que l’on pense …
Ils elles ploieront, aux rires éclats de nos rives nouvelles, de nos vies sans gênes.

Reprend-toi ta vie, et jette ton propriétaire, leurs impacts sonnent doux, et ils nourriront la terre.



VIVE L’ANARCHIE ! VIVE L’AUTOGESTION !

http://lapotence.joueb.com / http://emilie-nihiliste.hautetfort.com



numéro 6
fin du paternalisme
.... art. anti-wto ....




messieurs les potentats,

oui car de filles, il n'y en a guerre .. mais de compromissions en médiocrités elles en seront. Laids satrapes disais-je, vous n’êtes ni invités, ni tolérés dans même vos recoins , vos douves, vos fosses communes décisionardes, patriarcardes : inexpugnables, pensez-vous encore, à décider de choses dont vous n'avez pas même vent (pestilentiel et tempétueux, croyez-le bien).


Aux cloaques de vos néants, certainEs courberont, ploieront à vos cynismes élitaires et lénifiants. Les porteurs d'autorités sont la peste, vous êtes le choléra. certainEs feront les cros. Nous élèveront des POTENCES et sachez qu'elles seront pléthore. A chaque instant : de réappropriations en reconquêtes, de pratiques autogestionnaires en constructions dialectiques, l'on se revêt de conscience critique. Rien n'y fera que tout de suite, vous ne soyez que de vains et inutiles misères, nains puériles chimères, les masculins crétins des auges putrifères.


Alors jouissez de vos hochets, avant qu'ils ne te sautent à la gueule, et soit assuré, triste pantins que si oui l'on se construit nos existences loin de tes excavations, reste convaincu que, aux détours de tes échines, nous t'y pousserons, avant de les combler des ossements de tes semblables, pour ce que tu nommes sinistrement, comme tout ce tu nommes : l'éternité.



numéro 5



dévots votent des veaux vautrent

la potence ne vote jamais



Dévots votent des veaux vautrent les autres la rote ..

l'on y retrouve plus que une pâle tentative de légitimer on ne sait trop quoi de vague, au point ou, de jeux d'alliances et calculs politiciens, l'abstentionnisme, et la résignation , gagnent. Combien veautent, combien de dévots ? pour toutes et tous, n’indécident que quelques votards décérébrés-reptiliens et une élite restreinte de gens du serail, qui ne vautrent que pour eux ..

alors quoi? voter? au nom des luttes, des conquêtes qui les installèrent?

voter pour autre choses que des constructions concrètes, n'est-ce-pas là de terminer de trahir de ce qui fut conquis ? et cesse la référence définitive de pays infâmes qui l’inconnaissent. Et cesse de te concevoir d’un lieu qui de toi n’ a cure que selon des modes et des postulats qui te dégradent. Et dont tu es au mieux l’objet. Et pour le reste la victime.
Le vote déresponsabilise, infantilise, culpabilise. le vote aliène. Il reste à se le réapproprier, ou à l’éluder. Aux mesures de ce que l’on voudra en faire. Rien d’autre.





NE VOTEZ JAMAIS– NE VOTEZ JAMAIS NE VOTEZ JA MAIS- NE VOTEZ JAMAIS





De vote en veaute, ne cessera tu de te commettre aux auges , des promesses puériles sinon indigentes ? alors à nouveau tu te contriras, confortable et utérin, aux discours creux et vains. Alors encore tu terminera ta dialectique aux urnes de tes illusions ?


cesse une fois pour toute tes leçons de civilisme crétin, cesse de valider l’ engeance éluEcubratiste, et ne concède rien de toi qui ne soit le produit de ta conscience libre et critique.




Le vote alibi infantilise les faiseurs de néant. Tu n’es ni le lieu de récupérations ni le piedistal d’autrui et surtout le sujet de personne. Cesse d’élire et commence d’agir . Maintenant.





La ptence journal anar, la potence canard mauvais. http://lapotence.joueb.com




numéro 4



Ne parles pas.

Ne parles jamais.

Je sais déjà ce que tu vas dire.

C'est là, et rien d'autre, de que ce que l'on te concède, servile, de dire.

c'est là ça, et rien d'autre .

Dès lors , tais toi !

Cela, de miasmes en pourrissement, finira bien de raviver ta cervelle ..

En attendant, regarde bien ce que tu ne fais pas ..

et regarde bien ce que au travers de toi, par toi, l'on te défait ..

Et cesse, une fois pour toutes, lâche et vain, d'inexister par procuration.

Cesse donc tes lamentations

Larmes de crocodile,

tu n'en a même plus la force.

Larmes de désespoir.

Même plus triste, tu es misère.

misère et ton monde est mortifère.

délétère.

Pestifère.

Arrête tout avant de terminer de t’oublier. Et pense.

ET réfléchis.




C’est bien de toi et de toi seul qu’il s’agit. Cesse tes résignations tes leurres infantiles, tes alibis pusillanimes.


Brûle ta télé, et jette-y tes journaux.. qu’enfin ce soit là autrement que le nocif. Et ne répond pas aux chefs !! ils sentent mauvais dehors et puent à l’intérieur. Tu leurs fera une place, aux bûchés-poubelles des fantasmes rampés.


ET n’oublie jamais : ton seul amis, c’est ton cerveau. Ta seule poubelle c’est les pouvoirs.


Et personne nulle part jamais qui ne se permette d’ asservir, contrire, d’altérer, de rétrocédé la plus infime part de conscience de liberté, n’ai jamais la paix. Les objets superflus et nuisibles vont démantibulés et enterrés aux cloaques de nos oublis.





La potence / journal mural http://lapotence.joueb.com http://emilie-nihiliste.joueb.com


numéro trois



LA POTENCE journal anar, LA POTENCE canard mauvais !





Nous sommes nulle part, nous sommes partout. Les vraies barricades sont dans les têtes. Ainsi, le groupe NADA ne s’existe que dans les consciences. Aux recoins inexpugnables.





ON ARRETE TOUT





Des abandons :


Que l’on assiste aux replis des consciences, aux renoncements reptiliens, aux croupissements crasse : identitaires, religieux ou que sais-je…


Que l’on se confine aux résignations quotidiennes ; de lieux communs en simplifications, l’on fini de dormir nos possibles, de suicider nos espérances.


Le temps des reconquêtes est là. Offert à nos embellies, à nos pas évoqués , convoqués de concert. Il s’agit de cesser les opportunismes, les calculs, les reculs et d’entreprendre autrui à la hauteur de ce que nous voulons être. Il s’agit de créer les conditions d’ailleurs nouveaux, les outils de nos espoirs sans confins : ensemble.


Des lâchetés :


Rien qui ne soit arraché, n’est véritablement conquis. Et pour commencer, il faut se terminer. En finir d’un monde en cendres, d’un monde ruiné. De ses modèles étriqués et convenus.


Plus de patrons, de curé, de maton. Plus de patriarcat, cléricat, de machistes, virilistes. Les autorités, quelles qu’elles soient, où quelles résident vont une fois pour toutes abolies.


VIVE L’Autogestion VIVE L’ANARCHIE !!





ORGANIZE / VIVE L’ANARCHIE VIVE L’AUTOGESTION !!!





ON REFLECHIS





Des barricades :


Ça n’est pas d’alternatives dont nous nécessitons. Ni de réforme et encore moins d’aménagements. De consommer une rupture il s’agit. Puis, les catéchismes de quelques natures qu’ils soient vont évacués. A nous, aux confrontations, aux convergences, aux affinités de compétences, de devenirs ; à nous de nous exister des lendemains dès aujourd’hui chantés.


Les vraies barricades dont dans les têtes. Elles sont les refus de vies errées, concédées, médiocres.


Des conquêtes :


Il s’agit de construire des rapports nouveaux : à autrui égal. De nous inventer de nouvelles modalités, de nouvelles pratiques, à nos mesures et rien d’autre. Les compétences, les posibles sont sans confins. Ne laissons personne les biaiser, les contrire, les rétrocéder. Organisons nos devenirs libres, nos émancipations, nos conquêtes. « la liberté d’autrui étend la mienne à l’infinis » (Bakounine), et « nous portons en nos cœurs un monde nouveau »(Durruti). Dès lors : vive l’autogestion, vive les réappropriations : vive l’anarchie !!!



numéros un et deux pas dispo. Enfin pas tout'd'suite.